Bloodstained Ground
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 Nähra Kuddì

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Nähra Kuddì

Nähra Kuddì


Messages : 176
Date d'inscription : 03/01/2010
Age : 33

Nähra Kuddì Empty
MessageSujet: Nähra Kuddì   Nähra Kuddì Icon_minitimeMar 12 Jan - 11:42

| IDENTITÉ
Nom : Kuddì
Prénom : Nähra
Surnom //
Âge : 25 ans
Date de naissance : 07/05 (7 mai)
Sexe : F
Origines : Elle et sa sœur viennent d’un village situé plus au nord.
Race : Humaine.
Rang : Simple humaine.

| PHYSIQUE
Description : Les traits de Nähra sont loin d’être gracieux. Elle a les traits froissés de ceux qui vivent dans l’air du grand nord. Elle a de tout petits yeux noirs, constamment plissés, comme si elle essayait de voir au loin. Sa chevelure, très épaisse, est presque impossible à coiffer, ce qui lui donne toujours l’air de quelqu’un qui vient de se lever et qui aurait dormi seulement d’un côté. Au naturel, ses cheveux sont d’un noir d’ébène, mais elle met de la teinture rouge sang, comme le fait sa sœur. Vous avez remarqué ses muscles saillants, n’est-ce pas ? Son physique trapu et ses membres épais. C’est parce que Nähra a toujours été une grande sportive. Elle a toujours aimé mettre son corps à l’épreuve et a participé à de nombreuses compétitions sportives. Elle a pratiqué quelques sports de combat, pour le plaisir. Mais elle en a gardé quelques bons réflexes qui lui servent bien aujourd’hui. Elle mesure 1m68 très exactement et pèse 65 kilos, tout en muscles.
Signes particuliers : Elle arbore un piercing à la lèvre inférieure et un anneau d’argent à la narine droite. Sur l’ensemble de son corps, on peut voir de nombreuses traces de griffures, beaucoup de cicatrices, certaines très fraiches. Et il y a cette gravure dans sa chaire, qui ne semble jamais vouloir guérir, comme si on la creusait à répétition : « You’re mine ». Elle a aussi un tatouage au front. Elle ne sait pas d’où il vient, elle sait seulement que sa sœur a le même. Lorsqu’elle sort, elle porte un foulard pour le cacher.

| PSYCHOLOGIE
Description : Dans son village natal, Nähra était connue pour sa grande générosité et sa patience ne semblant pas posséder de limite. D’un calme déconcertant, elle se plaisait visiblement dans toutes les situations ou, du moins, y semblait à l’aise. Effectivement, Nähra a toujours été quelqu’un qui s’adaptait facilement. Très brillante, elle se lançant à fond dans tout ce qui la passionnait, notamment les sports. Tout ce qu’elle entreprend, elle l’a toujours réussi. Positive jusque dans l’adversité, elle n’a jamais réussi à se faire d’ennemis. Elle apprécie les choses simples, n’a aucun goût particulier pour le luxe, ni pour la beauté. L’endroit où elle vit, les gens qu’elle fréquente : tout cela n’a pas besoin de briller. Pour être heureuse, elle a simplement besoin de se sentir utile aux personnes qui l’entourent. De mémoire d’homme, jusqu’à ses vingt ans, Nähra ne s’est jamais mise en colère contre qui que ce soit.
Ce qu’il pense des autres races : Elle se montre plutôt neutre envers tout le monde. Les lycans, elle s’en méfie car ils sont extrêmement forts et puissants. Mais la ville est supposée être sûre donc elle n’en a pas vu autre part qu’au Fight Club. S’il fallait qu’elle en croise un dans la rue, elle doute d’avoir ce qu’il faut pour en ressortir vivante.
Les vampires, eux, la mettent mal à l’aise. Elle ne sort que très peu le soir et si elle le fait, elle soupçonne tout le monde d’être un buveur de sang. Elle se tient loin des lieux à risque. Le malaise qu’elle ressent n’est pas tant de la peur qu’une haine profonde qu’elle se sent incapable de gérer. Elle préfère donc fuir la cause de cette gêne.
Elle ne connaît ni l’existence des fantômes, ni celle des corrupteurs.
Signes particuliers : Depuis cinq ans, Nähra est sujette à de violentes migraines, des étourdissements. Il lui arrive de se réveiller dans des endroits inconnus. Elle regarde par-dessus son épaule. Tout ça, c’est depuis le jour où elle s’est réveillée avec cet étrange tatouage au front. Depuis, c’est tout son corps qui se couvre de cicatrices dont elle ignore la provenance. Elle est devenue méfiante et il lui arrive de se montrer agressive, ce qui ne lui était jamais arrivé avant.

| HISTOIRE
Histoire : L’histoire de la jeune Nähra Kuddì commence il y a 25 ans dans un petit village du grand nord, balayé à longueur d’année par des vents glacés et des tempêtes de neige redoutables. Le village comptait au maximum 160 personnes. Jamais ce nombre n’avait été dépassé. Tout le monde se connaissait, peu de gens quittaient le village, et encore moins d’étrangers venaient à y passer. Ce n’était pas une région très touristique, ni particulièrement agréable à fréquenter. Mais les villageois avaient appris à l’aimer. Leurs vêtements étaient faits pour éprouver le vent plus froid là-bas que partout ailleurs, et les maisons étaient chauffées et très bien isolées.

Nähra vit le jour un septième jour du mois de mai, en même temps que sa sœur, Marwen. Marwen était née après et n’avait visiblement pas bénéficié des mêmes nutriments que sa sœur durant la grossesse. La différence de taille et de poids entre les deux était considérable, très marquée. Nähra avait l’air en santé alors que Marwen avait l’air sous alimentée. L’ensemble de leur vie se déroula de la même manière, jusqu’à l’année de leurs quinze ans. Nähra avait une prédisposition pour les activités physiques et s’entraînait. Elle avait déjà voyagé hors du village pour des compétitions de tous genres. Elle était vue comme une enfant extrêmement douée en tout. Marwen, pour sa part, restait dans l’ombre, passait ses journées entières plongée dans des livres et, pendant que sa sœur se montrait aimable et serviable, elle était acariâtre et avait une mauvaise langue.

C’était pendant l’hiver, pendant la nuit qui dure trente jours, quand le soleil ne se pointe absolument pas dans leur région du monde. Un étranger a demandé l’hospice. On la lui accorda sans se méfier. Pourquoi se serait-on méfié d’un brave homme ? Il fut logé en échange de quelque travail manuel. C’est à partir de ce moment que les gens commencèrent à disparaître. Un à un, les villageois disparaissaient sans laisser de trace. Pour les dix premières disparitions, on ne se posa pas trop de questions : il n’était pas rare que des gens meurent dans le froid. Mais alors deux autres étrangers arrivèrent. Et ce ne fut plus des disparitions qui agitèrent la communauté, mais bel et bien des morts. Des gens retrouvés sans vie un peu partout. La crainte monta, mais les routes étaient bloquées. Comment partir ?

C’est Marwen qui, un jour, arriva en trombe dans la chambre de Nähra pour lui dire que leurs parents étaient morts, vidés de leur sang dans la cuisine. L’adolescente prit les choses en main. Elle remplit leur valise et décida qu’elles partaient. Mais alors qu’elles atteignaient la limite du village, les trois étrangers leur barrèrent la route. Nähra comprit en voyant leurs regards sombres et affamé que ce n’étaient pas des humains qui avaient envahi leur village. Elle prit soudainement conscience du grand silence qui régnait sur le village. Personne. Il n’y avait personne à part elle et sa sœur, et ces trois créatures démoniaques qui voulaient les empêcher de partir. L’un des hommes se rua sur sa sœur et elle l’entendit crier. D’un mouvement rapide, elle projeta son pied qui cassa la nuque du vampire. Mais celui-ci ne mourut pas. Il se releva juste après avoir touché le sol. Durant toute leur enfant, c’était toujours Nähra qui avait pris la défense de Marwen qui, avec son sale caractère, s’attirait les coups des autres enfants. Mais ce jour là, en voyant les trois vampires se jeter sur elle, elle sut qu’elle ne pourrait pas protéger sa sœur.

Pourtant, quand elle se réveilla, les trois vampires étaient morts et sa sœur était penchée sur elle. « T’en fais pas. Je les ai eus. » Nähra se demanda avec quelle force insoupçonnée sa sœur avait pu venir à bout des bêtes mais ne s’en formalisa pas plus que ça : elle était en vie. C’était ce qui comptait. Sa sœur et elle attendirent l’ouverture des routes dans ce village sanglant qui puait la mort. Et aussitôt qu’elles le purent, elles prirent la route vers le sud. Elles gardèrent leur tragédie pour elle. Pendant trois ans, elles eurent un petit appartement ensemble. À dix-huit ans, Marwen la quitta, disant qu’elle souhaitait faire quelque chose de sa vie. Nähra ne la retint pas.

Pendant deux ans, elle n’eut aucune nouvelle de sa sœur. Puis à vingt ans, elle la revit. Elle avait changé : elle était encore plus maigre qu’autrefois. Et beaucoup plus sombre. Elle avait, disait-elle, trouvé le moyen de venger l’holocauste qui avait eu lieu dans leur village. Nähra eut ses premières absences pendant le séjour de sa sœur. Elle dormait toute la journée, manquait le travail et se réveillait avec des migraines incroyables. Et il y avait ce symbole dans son front. Ses marques sur son corps. Sa sœur était repartie un matin sans prévenir. Depuis, pendant cinq ans, elle eut conscience de la voir souvent, mais ne s’en souvenait jamais réellement. Elle faisait des rêves étranges, des rêves de sang.

Cela fait cinq ans qu’elle vit ainsi, se gavant de pilules car persuadée qu’elle souffre d’un trouble mental.
Famille : Sa seule famille vivante est sa sœur, Marwen, mais elle ne sait pas réellement ce que celle-ci devient. Ses parents sont morts dans le drame qui décima leur village.

| AUTRES
Armes : Récemment, elle a trouvé une panoplie de lampes solaires dans un tiroir à double fond de sa commode. Il y a aussi, dans son débarras, une épée camouflée sous les balais et vadrouilles. Elle ne sait pas d’où ça provient et elle évite de poser le regard dessus.
Pouvoirs : Ce n’est pas un pouvoir, mais c’est ce que le pouvoir de sa sœur lui a fait. Nähra ne ressent pas la douleur car à cause de l’hypnose, les influx ne sont plus transmis correctement à son système nerveux central. De plus, lorsqu’elle se trouve en contact avec sa sœur, sa personnalité s’efface pour laisser la place à un être froid dont la seule envie réelle est de tuer des vampires. Elle est alors habitée par le désir de vengeance et la haine de sa sœur à l’égard de la race vampirique.

| DIRTY LITTLE SECRETS
Orgueil
Quelle est la pire chose que vous croyez pouvoir pardonner ? Une tromperie.
Votre plus grande fierté: Mes médailles d’or.
Votre plus grande erreur : Ne pas avoir compris plus tôt que les étrangers étaient un danger.
Votre plus grande humiliation : J’en ai honte, et je ne l’avouerais jamais. Mais le fait que ma sœur m’ait sauvée je ne sais comment m’humilie.
Ce qui pourrait vous arriver de plus honteux : Perdre la face.
Gourmandise
Faites-vous attention à votre alimentation, en temps normal ? Oui.
Aimez-vous boire ? Je ne bois jamais, à cause des médicaments.
Votre odeur préférée ? La neige.
Votre péché gourmet : Les guimauves grillées.
Qu'aimeriez-vous manger qui serait inavouable ? De la junk. Je ne me le permets jamais, pour la forme.
Jusqu'où iriez-vous pour combler votre faim ? Je mangerais peut-être un truc périmé.
Avarice
Êtes-vous, au naturel, une personne généreuse ? Oui, très.
Qu'aviez-vous du mal à partager quand vous étiez enfant ? L’attention, je crois.
À quoi vous attachez-vous le plus facilement ? Aux gens. J’ai collectionné les relations foireuses depuis mon arrivée ici. Les dernières ont été encore plus foireuses en raison de mes absences. J’ai un peu arrêté de sortir et de me lier aux gens.
Que n'aimeriez-vous pas vous voir faire pour protéger un bien ? Tuer.
Colère
Qu'est-ce qui vous irrite le plus chez les autres ? Je ne peux jamais savoir au premier regard s’ils sont fiables ou non.
Qu'est-ce qui vous irrite le plus chez vous ? Mes absences.
Votre réaction habituelle face à la contrariété : Je ferme les yeux et prends une grande respiration.
La réaction que vous ne voudriez pas avoir face à une contrariété : M’emporter. Ce que je fais de plus en plus souvent.
La chose sur laquelle vous passez le plus souvent vos nerfs : Mon sac de sable.
Vous êtes du genre à hurler, à crier ou à tout casser ? À tout casser.
Luxure
Votre rapport avec votre sexualité : Tssk. Ça fait des mois que je ne me suis pas envoyée en l’air !
Qu'est-ce qui est le plus souvent à l'origine de votre désir ? Mon ennui.
Croyez-vous que le l'érotisme est en lien avec l'amour ? J’espère que non.
Votre fantasme avec lequel vous vivez quotidiennement, que vous assumez : Faire l’amour avec le même homme plus d’une fois. Oui je sais, c’est pathétique.
Votre orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
Votre fantasme inavouable : Je rêve de me marier, d’avoir des enfants. Mais je sais que c’est impossible tant que je ne serai pas guérie. Alors je n’embête personne avec ça.
Le fantasme inconnu : Me faire posséder par un vampire.
Nommez quelques personnes qui font partie de vos fantasmes : Les divers hommes qui passent dans ma vie, je pense.
Envie
Quelle estime avez-vous de vous-même ? Ces derniers temps … pas très bonne.
Que feriez-vous, dans l'extrême, à une personne plus belle que vous ? Oh, je lui dirais qu’elle est belle.
Qu'enviez-vous à votre entourage ? Leur santé.
La personne que vous admirez le plus : Aleksandra Wozniak, une célèbre joueuse de tennis il y a quelques années.
La personne que vous enviez le plus : Moi, avant.
Quelque chose que vous possédez mais que vous détestez : Ce tatouage dans mon front. Je dois le cacher chaque fois que je sors.
Paresse
Supportez-vous la pression ? Ça dépend laquelle.
Supporteriez-vous de vivre dans un endroit mal tenu ? Oui.
Aimez-vous sortir ? Je suis très active. Je m’entraîne, je sors avec d’autres sportifs.
Êtes-vous quelqu'un de stressé ? Depuis un moment, oui, plutôt.
Quel serait, pour vous, le comble de la paresse ? Ne pas m’entraîner pendant plus d’une journée.
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